Sur réservation uniquement !
Deux créations sont à l’affiche en cette année 2016 :
1er et 2e mercredi du mois d’août :
Le Palais de Jonas
spectacle de marionnette à fils et ombres chinoises (45 min)
De la fuite vers Tarsis jusqu’aux rives de Ninive en passant par le ventre de la baleine, voici l’extraordinaire aventure de Jonas. Un spectacle tout en couleurs, en musiques et en émotions, qui enchantera petits et grands. À la suite de Jonas, plongez dans les grandes profondeurs.
La reprise de ce vieux conte Hébreux, réalisé en 2009, a remporté un vif succès auprès de ses très nombreux spectateurs. Ce spectacle, présenté durant trois années consécutives lors du festival d’Avignon, est une réussite tant dans sa dimension technique que dans la grande diversité du public auquel il s’adresse.
3e mercredi du mois d’août :
Histoire d’Ivoire
spectacle en ombres chinoises (40 min)
Des braconniers repèrent un troupeau d’éléphant qui se désaltèrent et s’amusent autour d’un point d’eau.
Traqués pour leur ivoire et chassés de leur territoire, les éléphants n’ont aucun répit. « Histoire d’Ivoire » retrace avec pudeur le sort tragiques infligé aux derniers éléphants d’Afrique. La survie de cette espèce emblématique dépend de la mobilisation de chacun d’entre nous.
Ce spectacle commandé par IFAW et réalisé en 2013 par la Cie des Skowiés a débuté sa tournée officielle lors du festival mondial de la marionnette à Charleville-Mézières le 21 septembre 2013. La soirée pourra se prolonger lors d’un échange sur le thème de « la lutte contre le trafique de l’ivoire et du massacre des éléphants ».
4e mercredi du mois d’aout :
Les petits fantômes
- Texte et illustration : Michel BAYARD
- Création musicale : Jacques IYNEDJIAN
- Régie Son et Lumière : Martine BAYARD
Le garage que j’avais investi pour en faire mon bureau d’écriture n’était pas chauffé, et c’est emmailloté jusqu’au nez que j’ai tricoté ces petits fantômes qui sont restés endormis quelques années entre piles de bouquins et toiles d’araignées…
Puis un jour, à l’orée d’une « dizaine surnuméraire », l’envie soudaine de ressortir du placard ces bribes d’enfance, ces éphémères, ces feux follets qui se faufilent par toute les fissures de l’obscur à la lumière.
Si le cœur vous « en chante », ne vous privez pas de dire ces textes à haute voix, alors les rideaux du petit théâtre s’ouvriront, vous monterez sur scène et votre voix deviendra celle de ces acteurs.
Michel Bayard